Peinture murale, parquets et frontières.
Z'avez vu, enfin un titre qui annonce la suite !
Le mur du salon n'en finit pas de sécher, les tâches noires de champipi aussi. J'ai prévu de les brosser à la javel (mais de la javel parfumée à l'eucalyptus !).
Du côté de l'évêché, la pose du parquet a été un poil précipitée après la découverte d'une zone d'affaissement du plancher OSB. Pourquoi le sol se dérobe sous mes pieds, me direz-vous ? Et bien parce que là où tous les pêcheurs posent le pied droit en rentrant dans le confessionnal, c'est là où se rejoignent 3 plaques d'OSB, mais qui ne posent pas sur une solive (poutre en i).
Le parquet est posé (partiellement cloué) sur des mini-lambourdes, là pour rattraper le niveau du carrelage. Une finition à l'huile-cire sera surement choisie.
La délimitation avec le carrelage me pose problème : j'aimerai bien trouver une solution qui ne soit pas trop flagrante, un peu comme une frontière qui resterait ouverte entre deux mondes différents mais néanmoins voisins. Si les carreaux veulent aller aux toilettes, pourquoi les en empêcher ?
Du côté de l'intellect, on a opté pour faire travailler nos méninges dans la petite pièce du bas, qui perd donc son appellation de "petite chambre" pour devenir "bureau-coin lecture-coin esquive-coin-tranquille, etc, vous avez compris le principe ??). Son mur ayant également subi les assauts du règne des basidiomycètes muraux et virgule étant une pièce bien sombre, j'ai passé un badigeon à la chaux, coloré à l'ocre jaune. Ça assainit et ça éclaircit. Recette : 1 vol d'eau, 1 vol de chaux, 10% du poids de chaux en ocre.
Dans cette pièce aussi, du parquet est en préparation de pose : pour l'instant il se réchauffe à la température de la maison...
